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مدونة د. الصحبي العمري

مدونة د. الصحبي العمري

Articles du DR SAHBI ELAMRI


Tel Général ,Tel officier ( Juillet 2004)

Publié par SAHBI EL AMRI sur 20 Novembre 2014, 01:04am

A quoi jouent les voyoux-bandits policiers de l'appareil repressif du G.P.D Ben ali ?

Les épouses des policiers criminels-tortionnaires font-elles la loi dans l'anarchie de la monarchie?

Dr. SAHBI AMRI

Une cuvette longiligne de 8 m environs traversant la chaussée adjacente en face du poste de police au Sers a été creusée sous forme d'un fossé de 30-40cm de profondeur joignant les trottoirs parelleles pour un éventuel drainage d'eau usée ou autres secretions humaines fetides vers l'église catholique transformée en salle de sport par respect à la religion de Jesus et au dialogue des civilisations d'après le discours officiel de Zine El Abidine Ben Ali .

Cette transformation de complaisance de l'infrastructure d'un boulevard principal à l'entrée du village du Sers a été à l'origine d'une gène capitale aux usagers de la route qui ne sont pas au courant des dernières modifications genant gravement la circulation routière .

Le polissage des berges du fossé a été établi au ciment par des planificateurs et genies de l'ingeniorat de l'analphabétisme chronique RCDiste .

Ces travaux asez lents ont duré une vingtaine de jours et ont été assurés par des carapaces d'ouvriers du troisieme age du chantier de de la mairie du Sers sous l'ordre complaisant d'un faisant-fonction de maire adjoint à langue pendue "JALGHA" et à bras longs au niveau du R.C.D à l'échelle loco-régronale au Sers-Kef .

Le maire du Bled Mr. Mohsen Gharbi , professeur d'université , S'occupe de la cosmétique des imperfections departementales puis qu'il a été désigné au poste de secretaire général du comité de coordination du R.C.D au kef .

Revenons ! Cette cuvette , transversalement longiligne de la chaussée juste en face de l'entrée du poste de police , devrait drainer la diurèse de la bière nocturne que boient habituellement les agents de police en uniforme à leur poste de permanence au moyen de l'argent de corruption extirpé aux chauffeurs de vehicules au cours des controles routiers de routine dans l'artère principale du village .

Il parait que ce local infecte du poste de police n'est pas raccordé au circuit du réseau d'assainissement du centre-village après 48 ans d'indépendance présumée .

Ce poste de police ne jouit meme pas d'une fosse septique d'après les présomptions des officiels mafieux .

Mais , en l'occurrence , la necessité crée le besoin .

Tous ces arguments et pretextes à base de mensonges manifestes et audacieux ont bien garni les rapports et procès verbaux d'une enquete policière qui a bien orienté la finalité d'un dossier judiciaire pour innocenter les coupables voyoux-bandits policiers responsables d'un scandale policier et d'un drame social sans regret ni remord .

Une famille dépourvue de moyens de subsistances en était la principale et unique victime au regard de l'indifférence de l'individualisme créé par les sequelles de la terreur repressive policière qui a fissuré le tissu social .

Cete famille est en train de payer toute seule les sauts d'humeurs de l'épouse du Cherif du Bled Najmeddine Boughanmi , le chef de poste de police du Sers , qui occupe un logement de fonction au dessus de son lieu de travail .

En effet , les poussières dégagées de la rue au passage des vehicules devant cette proprièté administrative privée de ce foyer gangreneux , irritent les humeurs instables de l'épouse du Cherif du Bled surtout au cours de ses après-midi passés comme radar indiscret au balcon du poste de police .

Ces poussières polluent l'air qu'elle respire , salissent ses meubles après ménage domestique et souillent son verre de thé à son balcon du logement de fonction . Elle gachent aussi son maquillage et sa coiffure .Car madame radar ne peut s'en passer de son indiscretion gratuite du balcon de l'après-midi pour surveiller les vibrations et le changement de la direction du vent ainsi que les ondes sonores de l'environnement de son domicile .

Une decision domestique de l'épouse du Cherif du Bled ne pouvait interdire le passage des véhicules dans les deux sens du boulevard ruralisé .

Le Cherif du Bled Najmeddine Boughanmi devait coordonner ses gestes , ses relations et ses demarches pour supprimer ce malaise à la patrone de son foyer et surtout au foyer bati par l'argent du peuple au dessus du symbole de la gangrène nationale .

Créer une incurvation transversale de la chaussée juste en face de l'entrée du poste de police pour obliger les usagers de la route à ralentir au maximum la vitesse de leurs véhicules etait un alibi de justification d'aberration et d'abus de pouvoir à la réalisation d'un objectif mesquin par le biais de l'argent public .

La complicité de la la mairie avec l'unité locale des travaux publics profitant de l'oeil fermé d'un délégué amorphe et d'un gouverneur incompétent se sont réunis pour mettre en oeuvre le caprice de madame radar .

Pour ce fait , une équipe d'ouvriers asthéniques a été mobilisée au mois d'Avril 2004 pour effectuer ce méga-projet éscronomique de travaux publics d'interet national .

Sans l'approbation du conseil municipal , ni celle des services de prévention routière , ni une planification anterieure de budget d'intervention , l'épouse du chérif du Bled ne pouvait attendre les tracasseries adminisratives de la tenue d'une cession ordinaire du conseil municipal des recrutés en Béni Oui OUI .

Aussitot ces travaux commencés que les déviations de passage et les secousses provoquées par cette incurvation transversale du Boulevard ont suscité une indignation de la totalité de la population du Sers et un sentiment de contestation de cet abus de pouvoir .

A chaque secousse de chauffeur de vehicule , une insulte publique etait adressée à Zine El Abidine Ben Ali et ses collaborateurs à bras cassés .

Aucune école ou jardin d'enfants ou lycée ou hopital ou autre institution à forte concentration humaine n'avoisine ce poste de police pour justifier l'indication gratuite de la réalisation abusive gratuite de cette incurvation transversale de la chaussée en l'absence d'écoulement d'eau de pluie ou de stagnation ou regurgitation des eaux devant ce poste de police .

D'ailleurs , cette incurvation transversale du Boulevard en face de l'entrée du poste de la police ne joint que les deux rives des deux trottoirs parallèles sans etre raccordée à un réseau d'assainissement .

Elle ne draine que les poussières de seheresse de la chaussée et la pice nocturne de la bière des agents de police de permanences accoutumés aux dérives permises de la hierarchie de l'anarchie monarchique .

Un individu non classé au barème de citoyen , Mr. Hamadi Saidi ayant purgé en 1996 une peine carcerale de 8 mois pour diffamation de l'autorité au pouvoir : Il manifestait sa souffrance profonde de chomage et de privation de travail sur la route isolée de Lorbous avec une pancarte portant le slogan " ICI ON ASSASSINE LES DROITS DE L'ENFANT " . Il a été rapidement ramassé et rapidement jugé et écroué .

La coincidance des circonstances a voulu faire de cette personne encore une fois de plus une victime des pratiques du régime Ben Ali .

Le 18 Avril 2004 , Hamadi Saidi , transporteur de sable connu sous le nom de Hamadi "Ramla" ,venait d'apprendre le refus de délivrance d'un minable credit social de l'Association de developpement local "SYRES". Vivant dans l'amertume de l'injustice des credits sociaux des pistons ,il s'est dirigé à son foyer après une journée de fatigue et de stresse .

Il passait , cependant , sur son tracteur devant le domicile de la proprièté administrative privée du Cherif du Bled . Il a été farouchement refoulé et interdit de passage par l'agent de permanence au poste de police. Il s'est vu encore subir une injustice supplementaire portant atteinte à son droit de circulation sans raison .

Il ne s'est pas donc conformé à l'ordre du policier du trottoir d'arret et de deviation obligatoire sans plaque de signalisation routière . Il devait donc ralentir la vitesse de son tracteur trainant une remorque de sable pour pouvoir franchir sans dégats la grande secousse d'incurvation transversale du Boulevard de la police au regard du radar constament installé au balcon du Cherif du Bled .

Cependant ,des insultes bien garnies de termes orduriers lui etaient parvenues à titre de provocation du policier voyou sans respect meme à l'épouse de son superieur .

Hamadi "Ramla" s'est vu donc touché en son honneur d'Homme .

Il s'est arreté puis descendu de son tracteur sous l'échange d'insultes avec le policier "ZIED" qui a cogné Hamadi avant que le spectacle commence . Hors de lui , Hamadi "Ramla" a retiré une barre de fer du casier de son tracteur et a agressé le policier "Zied" à l'épaule lui provoquant une contusion traumatique sans lésion osseuse puis il a pris la direction de son domicile . L'écho de cet incident s'est vite propagé de bouche à oreille au village du Sers . Aussitot informé , le Cherif du Bled a décidé immediatement une descente policière à la maison de Hamadi pour sa capture et sa correction .

Et la fete policière commence .

Trois agents en compagnie du Cherif du Bled Najmeddine Boughanmi se sont rendus en voiture officielle de police au domicile de Hamadi "Ramla". Une violation de domicile a déclenché un mouvement de panique entre l'épouse et les quatre filles de Hamadi qui se sont interposées à sa capture humiliante .

L'acharnement des quatre gangsters policiers s'est transformé en duel hysterique public devant l'impossibilité d'extirper Hamadi de ses siennes . Les étapes de violation et d'agression policières d'une famille à son domicile s'aggravent .

Le duel devient de plus en plus aigu sous les cris , les pleures et les appels de secours des sans defenses .

Brusquement une menace policière de prise d'otage , pour menace d'emprisonnement de Jannette agée de 23 ans fille de Hamadi Saidi visant à faire fléchir son père à se rendre , surgit pour aggraver le scandale policier et le transformer en drame .

Sa fille capturée à ses yeux par des policiers-voyoux et bandits , Hamadi "Ramla" s'est dechainé et a redemarré son tracteur .

Il a demandé aux pirates-policiers de liberer sa fille sinon , ils devaient s'attendre au pire .

Les detenteurs de la fille n'ont pas cru à ses menaces .

Hamadi " Ramla " a , cependant , écrasé sous les roues de son tracteur la voiture de la police garée devant son domicile pour un spectacle d'humiliation publique qui a obligé le Cherif du Bled Najmeddine Boughanmi à prendre la fuite en compagnie de sa bande d'agents-bandits .

Hamadi "Ramla" s'est donc ensuite dissout dans la nature après une crise de fureur et de folie .

Son fils Hedi SAIDI élève agé de 15 ans , non informé de l'incident survenu au domicile parental , aussitôt rentré de son college du Sers , est devenu à son tour une cible de prise d'otage policière .

La proie est , cependant , arrêtée sous la loi du banditisme policier et de l'abus de pouvoir autorisé par les hautes instances pour justifier l'aberration policière en l'absence de signes de sagesse et de loyauté .

L' enfant Hedi Saidi est accusé d'agression policière et de complicité d'atteinte aux biens publics et à l'autoritéde l'état bien qu'il etait à son collège au moment de l'incident .

Pour le juge d'instruction , Marouène Tlili , au tribunal du Kef , rien ne prime devant les accusations du Cherif du Bled Najmeddine Boughanmi qui a tout mis en oeuvre pour obeir aux caprices de son épouse Mme Radar .

Les ministres de l'interieur et de la justice ont été aussitot informés du scandale . Ils n'avaient aucun recours pour le remaniement de la stiuation sauf des instructions embarrassantes au juge d'instruction Marouène Tlili au tribunal du Kef .

Des certificats medicaux de dégats corporels infligés aux bandits agents de police au cours de l'exercice de leur fonction , des expertises de dégats materiels causés à la voiture de police en mission de travail , une perquisition du procureur du tribunal du Kef pour légitimer la violation de domicile ainsi que tant d'autres papiers de preuves artificialsées pour officialiser et légitimer loyalement les dérives et les violations policières dans cet incident-drame . Le motif réèl de la provocation policière légalisée par l'installation du fossé transversal de la chaussée en face de l'entrée du poste de police au Sers n'a jamais été relaté au cours de l'enquete .

Mme Radar garde ses distances pour présomption d'innocence et a été mise à l'abri de tout soupçon . Cependant , un recours des autorités locales au Sers à la mise en place d'un grillage de fer forgé de couverture du fossé en question a été un moyen de relativiser l'abus de pouvoir par un abus d'usage de l'argent public .

L'incurvation transversale de la chaussée en face du poste de police au Sers ne collecte actuellement à sa profondeur que des residus de poubelles et des dechets solides .

La complicité de complaisance des autorités locales n'a pu contribué à l'éradication des traces et empruntes de cet incident-drame .

L'enfant Hedi Saidi s'est tapé plus de cinquante jours de detention abusive à la prison des mineurs de Medjez-el-Beb en l'absence de capture de son père Hamadi " Ramla " .

Il a raté l'ensemble de ses examens de fin d'année scolaire pour faire plaisir aux caprices de Mme Radar .

Des pétitions urgentes de ses amis élèves du collège du Sers adressées aux ministres de l'interieur et de la justice n'ont pu etre entendues .

Mais , la capture de son père à Kasserine l'a vraiment déçu .

Son sacrifice d'amour paternel pour sauver l'honneur de la famille a mis les hautes instances dans l'embarras du respect des droits de l'enfant-otage dans un état-policier où les droits fondamentaux les plus élémentaires du respect des droits de l'homme sont bafoués aux regards du G.PD Zine El Abidine Ben Ali le champion mondial détenteur d'un arsenal local et international de cadeaux et prix de respect des droits de l'homme .

Maitre Néjib Hosni et Maitre Abdelmelak Labidi , imminents avocats aux Kef et veritables défendeurs des causes justes , seront-ils en mesure de lever l'injustice infligée à la famille Saidi du Sers et mettre tous les intervenants et complices de l'éclosion de cet incident-drame devant la cour à la barre des accusés .

Pour ce fait , il faudrait qu'il y ait au tribunal du Kef au moins un procureur et un juge d'instrction aux testicules de bronze .

L'independance de la justice en Tunisie a été toujours mise au bancs des accusés depuis la descente nocturne en parachute du G.PD Ben Ali au Palais de Carthage .

La prochaine année judiciaire s'annonce déja mal avec des dossiers assez embarassants .

Leur découverte serait au moment opportun .

Le linge sale du tribunal du Kef et d'autres lieux judiciaires infectes sera mis en public .

Il risquerait de faire tomber des tetes avant l'heure .

Les protecteurs des dérives et violations des droits du citoyen sont la cible de mes intensions .

Les présumés innocents d'avance savent de qui je parle .

Dr.SAHBI AMRI
Medecin privé de sa medecine

Tel Général ,Tel officier ( Juillet 2004)
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