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مدونة د. الصحبي العمري

مدونة د. الصحبي العمري

Articles du DR SAHBI ELAMRI


A son excellence l’ambassadeur des Etats Unis d’Amérique en Tunisie ( Mars 2006)

Publié par SAHBI EL AMRI sur 20 Novembre 2014, 00:57am

Monsieur,
Je me permets de vous adresser cet écrit en ayant l’ultime conviction que mes propos auront un impact de suivi positif formulant une assise de décollage spectaculaire dans les relations Tuniso-Américaines avec l’espoir de voir, un jour, les obstacles des susceptibilités conceptionnelles se ramollir d’abord pour disparaître ensuite entre deux peuples de deux continents différents où les pays se sont transformés en mairies
Supra-nationales.
Cependant, je ne suis en mesure d’oublier notre rencontre très amicale, au mois de Mai 2005 à l’Hôtel Sheraton à Tunis, à l’occasion d’un séminaire établi sur la liberté d’expression par une ONG « Inter News ».
Monsieur l’Ambassadeur,
Vous êtes certainement au courant que le Président Mr. G-W Bush, son Vice-président Mr. Dick Cheeny, nombreuses ONG internationales et de multiples journaux de renommée mondiale étaient solidaires avec moi dans ma lourde peine socioprofessionnelle d’opposant politique rebelle à toute injustice et à toutes les dérives de l’autorité au pouvoir en Tunisie.
Le soutien moral que m’a attribué la vertu de la sensation humanitaire internationale m’a permis de défier l’asphyxie autoritaire.
La justice Tunisienne vient de me réparer les préjudices encourus au point que je ne pourrais croire au rêve réel que je vis actuellement.
A ce propos se sont adjoints , à mon égard , la générosité et la bienveillance du Président Zine El Abidine Ben Ali que j’ai toujours critiqué , depuis 18 ans , au point de la diffamation publique télévisée et à l’Internet ,sans qu’il m’empêche de m’exprimer librement à son encontre et à l’encontre de ses collaborateurs .
Autrement dit, les motifs de l’affrontement politique, que je menais durant 18 ans de misère et de calvaire , se sont dissous actuellement par un simple geste de compréhension et de responsabilité des parties intervenantes .
Mais, paradoxalement à ce revirement, la honte m’accable face aux spéculateurs des brebis galeuses de l’Opposition Tunisienne qui se détériore de jour en jour pour s’écarter de plus en plus du peuple Tunisien. Nombreux personnages devenus médiatiques dans le parcours du marketing politique des défenseurs des droits de l’homme ont usé des souffrances des victimes du malentendu politique pour confectionner une gloire synthétique fragile où l’intérêt personnel des commis des droits de l’homme prédomine sur la réparation des préjudices des victimes qui leur ont fait recours au nom des principes et des valeurs universelles qu’ils manipulent audacieusement par les notions de la ségrégation et le profit de clans .
Etre opposant politique n’a jamais été synonyme d’avoir une grande gueule .
C’est plutôt avoir une raison patriotique honnête et crédible, du courage
Et une prédisposition au sacrifice.
Mais, la forme et le lexique du militantisme politique encouru par une telle frange handicapée d’une Opposition Tunisienne disloquée de sa base et non représentative du paysage politique poussent au blocage et à la déformation des réformes fondamentales pour entretenir la chronicité du statu quo au profit des foyers manipulateurs du marketing politique qui siègent à la rive nord de la Méditerranée.
Par les slogans de la défense des droits de l’homme , le terrorisme s’est toujours développé dans le monde sous les aspects de la légalité , de la légitimité et de la loyauté mettant dans l’embarras l’autorité du régime Tunisien dans les tribunes internationales pour bloquer les efforts officiels au développement national.
Certes, l’autorité suprême est consciente de l’existence de nombreuses carences de conduites et d’attitudes pour lesquelles elle a déjà mis en œuvre tout un processus d’aménagement, de remaniements et de rénovation pour le rétablissement des équilibres sociopolitiques.
Mais cette orientation réformatrice ne devrait être marginalisée au profit des greffons des remonte-controls.
Il est , cependant , temps de mettre à l’épreuve la reconnaissance du peuple Tunisien au Président G-W Bush et ses collaborateurs pour le rétablissement des ponts de confiance et de coopération afin de remodeler la conquête de la bonne réputation des Etats Unies d’Amérique au niveau es pays Arabes .
Cet obstacle psychologique ne serait vaincu que par la participation et la collaboration des juifs Tunisiens , Algériens , Libyens et Marocains au dialogue des civilisations dans le cadre du Fauteuil Ben Ali pour établir des nouvelles notions d’osmose civilisationnelle entre les religions.
Sachant que la Tunisie a , toujours, été à travers l’histoire humaine contemporaine le Grand Portail du Moyen Orient , le spectacle de l’effervescence politico-militaire de cette région a , à son tour , omis de faire appel à la clairvoyance de l’équipe dirigeante Tunisienne dans le rapprochement des différents Israélo-Palestiniens.
Par ailleurs, il serait nécessaire sinon indispensable de consolider les relations Tuniso-Américaines dans un contexte rénovateur et réformateur qui toucherait le fond et l’âme du simple citoyen des deux continents.
L’installation et l’ouverture d’une Ambassade Israélienne à Tunis en échange similaire à Tel Aviv devrait promouvoir la paix au Moyen Orient et éradiquer la notion du terrorisme international avec beaucoup de civisme dans le cadre d’une action culturo-économique.
Si la volonté suprême Américaine est sincère dans l’établissement de pont diplomatique Tuniso-Isrèlien diurne, le peuple Tunisien ne cherche que le bon vieux temps des rapports et des affinités Islamo-juives.
Mais, en revanche toute manœuvre Occidentale d’orchestration et de manipulation d’attitudes et de conduites pourraient remettre les relations Tuniso-Américaines en question.
Il faudrait, en conséquent, se mettre à l’esprit que l’hostilité principale qui pourrait surgir à l’encontre de ce projet civilisationnel n’est autre que celle de l’Opposition Tunisienne bien assistée par des foyers financiers étrangers suspects et des personnalités politiques Françaises qui manipulent au remonte-controls des révoltés contre la Tunisie et les juifs dans un esprit d’anti –sémitisme à vocation criminelle Nazi qui aspire à l’éradication du peuple juif entre l’holocauste et la mer .
A cet effet , il est recommandé au gouvernement Américain de renforcer les efforts du Président Zine El Abidine Ben Ali afin de prendre le flambeau d’une politique arabe de modération et de raison dans une perspective de paix et de prospérité entre les musulmans et les juifs au bassin Méditerranéen.
Par ailleurs, il vous est recommandé Mr. L’Ambassadeur des U.S.A en Tunisie , de sortir du cercle spéculateur vicieux d’une Opposition Politique Tunisienne qui ne vit que dans les marécages car elle ne se nourrit que des marécages .
Cependant, les revendications élitistes étroites de nos défenseurs des droits de l’homme et de nos opposants politiques en Tunisie ne touchent réellement le vécu quotidien du citoyen par mépris, négligence et non considération.
La prédominance convictionnelle de l’imbibition méningée de certaines idéologies, abolies à ses lieux de naissance, ne pourrait véhiculer les critères de la mobilisation et de la discipline de masse dans une atmosphère de diversité où l’harmonie du spectre politique n’éblouit ni l’acteur ni le spectateur.
Nos brebis galeuses se sont toujours trouvées confronter à la représentativité , à la crédibilité , à l’honnêteté et au déterminisme des présumés interlocuteurs au nom du peuple Tunisien qui n’ont cessé de séquestrer , par la spéculation idéo-politique ségrégative , les tribunes médiatiques à l’extérieur de la Tunisie .
Nombreuses attitudes médiatiques « d’opposants politiques Tunisiens » ont bien aggravé leur nostalgie politique pour pousser toute crise sociopolitique locale à l’impasse.
Les exemples ne manquent pas à ce propos.
Pourtant, nombreux diplomates et foyers diplomatiques étrangers, en Tunisie et ailleurs, se permettent l’audace et l’arrogance de la complicité discrète aux complots contre le régime Tunisien au biais de la stérilité politique d’une frange d’élites isolées de la base à la recherche d’une revanche personnelle qui inciterait à la greffe d’une démocratie synthétique par l’arme et le sang.
Le recours de certains révoltés aux manœuvres scandaleuses publiques a toujours tenté de ridiculiser vainement l’autorité au pouvoir par les mensonges et les provocations de bassesses qui ne cessent de trouver de l’écho ailleurs.
Leurs appels aux manifestations et à l’insurrection populaire n’ont jamais trouvé de réponse, de soutien et de solidarité médiatique locale populaire.
Pourtant, la presse et l’information satellitaire Occidentale et Al-Jazira ont toujours exprimé de la pitié et de l’affection émotionnelle par la spéculation politique des rarissimes faux incidents occasionnels attribués à l’autorité au pouvoir.
Le mensonge du porte-parole du marasme de l’opposition politique trouve toujours les justifications paranoïaques à son commerce politique à l’extérieur de la Tunisie.
Monsieur l’Ambassadeur,
Il est temps de voir les choses en face pour sortir de la spéculation et du marketing politique entretenu par le profit et le favoritisme au nom de la démocratie et de la défense des droits de l’homme.
Un important effort international devrait s’établir prochainement en Tunisie pour sortir de la voie de la marginalisation politique en vue de rétablir les équilibres de l’équation géo-stratègique internationale par l’intégration du hors-jeu qui a toujours amputé les grandes manœuvres de décollage politique , économique et social .
La libération récente des prisonniers politiques et l’accalmie des tensions politiques internes en Tunisie ne sont au fait qu’un bon signe pour l’expansion des bonnes intentions et initiatives à l’extérieur de nos frontières .
Cependant , l’orientation des projecteurs de la politique extérieure Américaine sur l’incidence de l’Egypte et l’Arabie Saoudite , depuis plus d’un demi siècle , pour la résolution du conflit Israélo-arabe du Moyen Orient a transformé une mèche en un incendie civilisationnel fatal qui se prolonge et s’étend ailleurs .
De ce fait, la sécurité d’Israël naît, s’engage et prend son d épart à partir de la Tunisie , véritable Portail du Moyen Orient.
Car, à titre de confirmation, je vous proposerai Mr. L’Ambassadeur de monter au plus haut point culminant des hauteur du Nord de la Tunisie , vous visualiseriez avec une jumelle puissante , Tel Aviv et sa banlieue sans aucun obstacle ni frontières.
Le peuple Tunisien n’a jamais omis la reconnaissance Américaine de son indépendance et l’intervention éco-financière et humanitaire d’une grande puissance qui respecte ses interlocuteurs de l’autre coté de l’Océan.
Si les ponts du dialogue des civilisations du monde demeurent sensibles aux fluctuations des humeurs des grandes puissances face aux échecs diplomatiques, politiques et militaires de certains états influents sur le cours des évènements quotidiens mondiaux, ils n’ont jamais été synchrones avec les affinités des peuples entre les pays de la planète.
Un double langage de schizophrènes politiques à l’échelle internationale a toujours œuvré pour la répulsion de l’affection de masses pour créer des écorchures civilisationnelles au profit de la myopie des orientations politiques basées sur les susceptibilités, les complots et les conflits de tendances idéo-théologiques.
Nombreux dirigeants politiques du monde n’ont jamais eu le courage d’œuvrer en dehors du chauvinisme nationaliste et de l’intégrisme religieux pour vaincre le contexte de l’égoïsme électoral mobilisateur motivé par l’implantation de l’absolu humain sur le compte du sacré divin .
Les déséquilibres constatés dans l’édification de systèmes et de régimes politiques se sont toujours référés à la matérialisation des rapports humains en l’absence de repère moral et défaut des normes convictionnelles capables de renforcer la mobilisation spontanée des masses populaires autour de symbole patriotique.
Le recours au culte de la personne n’est jamais parvenu à combler le déficit de la foi pour marginaliser la religion de toute nature.
De ce fait, nombreuses conventions officielles entre hauts dirigeants de pays n’engagent uniquement que leurs signataires sans que leurs peuples soient mêlés à ses accords.
Ce type de relations entre états démarque une stérilité de procédures internationales qui n’ont jamais fait l’objet d’études stratégiques objectives modulant les fondements rationnels entre les rapports de pays et peuples face aux relations isolées entre dirigeants et leurs bases.
Si la statut du sociologue Arabo-musulman Ibn Khaldoun demeure debout entre la Cathédrale Chrétienne et l’Ambassade de France dans la plus importante artère urbanistique à Tunis , la Mosquée Zeitouna s’est implantée à la Médina dans un environnement architectural qui résiste au temps sous une ambiance originelle et artisanale bien spécifique aux traditions et coutumes d’un peuple qui a été toujours fier de ses origines .
Cependant, au plus haut sommet de Carthage, se trouve l’Eglise Chrétienne de Saint Louis qui projette ses reflets sur la Mosquée « El Abidine » joignant sur les bords de leur axe médian les deux Synagogues de la Marsa et de La Goulette à la banlieue nord de Tunis .
Ce rayonnement pluri-culturo-religieux confère à la Tunisie la diversité d’un polymorphisme civilisationnel à travers l’histoire de ses ancêtres avec une projection à l’avenir qui historise le présent contemporain.
Tenant compte de ces données rationnelles, cette diversité a, toujours, été favorable à un nouvel état d’esprit permettant à la Tunisie de prendre le relais du flambeau Arabo-Musulman de meneur de la politique internationale au bassin Méditerranéen.
A la recherche d’une démarche d’adhésion à la modernité contemporaine, l’autorité suprême du Commandement du pays, devrait développer son activisme politique vers la responsabilisation commune avec l’Opposition Tunisienne qui a toujours synthétisé depuis cinquante ans d’indépendance des éléments passifs incapables de renouveler leur discours contestataire se référant à une mentalité archaïque de révoltés : « Se démarquer de la foule pour se faire distinguer ».
Si le défunt Zaïm Habib Bourguiba a œuvré pour initier au peuple Tunisien les principes nécessaires à la modulation entre la civilisation Arabo-Musulmane et la civilisation Occidentale, il était clairement et franchement hostile aux maux de tête du Nationalisme et du Communisme.
Son itinéraire à la magistrature suprême a été marqué par des stations politiques historiques offrant à la Tunisie une position privilégiée parmi toutes les nations du monde.
La mentalité de sa clairvoyance était anticipée à son époque face à sa thèse dans la résolution du conflit du Israélo-palestinien au Moyen Orient.
Par ailleurs, l’esprit rétrograde des dirigeants Arabes, de cette époque, a bloqué son processus.
Le changement dans la continuité établi par son successeur, le Président Zine El Abidine Ben Ali, a, cependant, renforcé la position antérieure de la Tunisie dans ce domaine en tendant les ponts de confiance, de coopération et de solidarité avec les pays Arabes.
Ceux-ci ont sous-estimé l’importance civilisationnelle de la Tunisie relativement à sa superficie, sa densité démographique et ses ressources.
Mais, le parcours de l’impact de la Tunisie a, toujours, refusé ces normes de références dans ses relations extérieures.
Car, entre autres, l’O.L.P n’aurait jamais accédé à la Maison Blanche sans la motivation politique et diplomatique Tunisienne.
Les circonstances actuelles de l’évolution des événements internationaux exigent l’unification des efforts patriotiques de tout un chacun et m’obligent particulièrement à m’aligner au rang de la raison pour surpasser les surenchères politiques stériles entretenues par les spécialistes de la spéculation de la défense des droits de l’homme et du marketing politique d’une frange d’opportunistes de l’Opposition Tunisienne.
Mon conseil au Président Zine El Abidine Ben Ali se résume à son incitation à dominer la charge totale de la responsabilité politique de la Tunisie pour prendre le train de la politique internationale.
La Tunisie est, cependant, en mesure d’être à la hauteur de l’avant-garde politique pour prendre le flambeau du monde Arabo-Musulman par la sagesse de la modération et l’objectivité.
Il est temps qu’elle se substitue à l’Egypte et à l’Arabie Saoudite pour un renouvellement positif de la mentalité moderne de l’Islam en vue d’un meilleur usage de l’osmose fluide du dialogue des civilisations et ses alliances coordinatrices du rapprochement des peuples de la planète.
La concrétisation des slogans de véritable coopération, de solidarité sur la base de la tolérance fictive , du respect mutuel et l’établissement des ponts de confiance avec les communautés Juive et Chrétienne dans le monde ne sont qu’un objectif de paix et de sereinité pouvant contrarier l’extension du terrorisme.
La ségrégation raciale , ethnique et diplomatique Arabo-Musulmane a toujours opté pour l’exclusion des représentations officielles Juives en pays Arabo-Musulmans sous prétexte du refus médiatique populaire dont le comportement a tant évolué et a bien changé relativement à son haut commandement politique .
Donc , la nécessité de l’établissement de points de contacts officiels déclarés , en plein jour , des représentations diplomatiques Juives en Tunisie contribuerait à abolir les tabous et les barrières psychologiques pour vivre une réalité commune permettant le rapprochement des notions religieuses de la descendance d’Abraham.
Si le Caire a été construit , depuis des siècles, par un Tunisien, Jawhar Essekelli, sa confirmation prouve à travers les prolongements de l’histoire que la Tunisie a été toujours le précurseur des innovations et des créations dans la notion de la civilisation.
Un simple regard sur la cartographie géopolitique montre que la Tunisie a été toujours la Portail du Moyen Orient indispensable au passage de toute réussite politique.
Il n’est, cependant, pas concevable actuellement que la Tunisie, terre des rencontres et des civilisations, demeure au siège du spectateur passif face à la métamorphose dystocique du monde contemporain.
Les récentes élections Palestiniennes qui ont mené le Hamas à la victoire exigent de la Tunisie une responsabilité stratégique pour l’ouverture d’un dialogue constructif officiel avec l’état Hébreux afin d’éradiquer la qualification du terrorisme qui s’est collée à la religion Musulmane et aux Musulmans.
La Tunisie est en mesure d’être un modèle exclusif pour le monde Arabe et Musulman au moyen du développement économique, social, politique et culturel.
La Ghriba , à l’Ile des rêves de Djerba , renforcerait les liens d’amitié et de coopération avec la communauté internationale Juive en dehors de la clandestinité et des contraintes médiatiques de la peur hallucinatoire des hostilités populaires Arabo-Musulmanes présumées.
En conséquent, je demande fermement , par le biais de votre ambassade des Etats-Unis d’Amérique à Tunis ,à titre incitateur et de considération au Roi Abdallâh d’Arabie Saoudite de contribuer avec les U.S.A afin de renforcer politiquement et financièrement la position du Président Tunisien Zine El Abidine Ben Ali pour l’échange d’ouverture d’ambassades de Tunisie et d’Israël dans les pays respectifs afin de rapprocher la notion bilatérale des différents de la civilisation Musulmane , Judaïque et Chrétienne , en terre des rencontres, dans le but d’éradiquer l’injustice de la qualification de terrorisme attribuée gratuitement à l’Islam et aux Musulmans .
L’Arabie Saoudite a tant contribué par sa négligence officielle sécuritaire et idéologique à la propagation de la culture religieuse fanatique intégriste du Wahhabisme, source des malheurs et des drames du monde arabo-musulmans . Elle devrait , à son tour, s’innocenter de l’orientation des index internationaux de culpabilité terroriste et criminelle dirigés de l’Occident à la Terre Sainte Musulmane.
La position sacrée de la Tunisie face à la religion de la communauté Juive, par la Ghriba , se trouve confrontée à la position sacrée de l’Arabie Saoudite , par la Mecque , face aux Musulmans.
A partir de ce contexte, le dialogue des civilisations s’ouvrirait entre la descendance d’Abraham.

Dr.SAHBI AMRI
Médecin

 A son excellence l’ambassadeur des Etats Unis d’Amérique en Tunisie ( Mars 2006)
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